La candidose vaginale est une affection courante qui peut toucher n’importe quelle femme à un moment ou l’autre de sa vie. Gênante et parfois douloureuse, elle fait partie des troubles intimes les plus fréquents. Mais à quoi est-elle due ? Comment la reconnaît-on ? Que faire pour la soigner ? On vous dit tout !
Candidose vaginale, mycose intime : quelle est la différence ?
La plupart des femmes savent généralement ce qu’est une mycose intime. En réalité, trois quarts d’entre elles sont touchés par ce trouble génital un jour ou l’autre ! À chaque démangeaison persistante de la vulve ou du vagin, c’est la première chose à laquelle vous pensez. Mais peut-être avez-vous déjà entendu parler de la candidose vaginale ? Vous vous demandez en quoi elle diffère de la mycose ? En fait, ces deux mots désignent la même affection !
La candidose est le nom spécifique de la mycose provoquée par les levures du genre Candida. Dans le corps humain, toutes les mycoses ne sont pas nécessairement engendrées par ce type de champignons microscopiques. Mais, lorsque l’on parle de la sphère intime féminine, c’est toujours un représentant de cette espèce qui est impliqué. Et dans 80 % des cas, il s’agit plus précisément de Candida albicans, un champignon microscopique, certes, mais immensément gênant lorsque vous êtes victime de sa prolifération.
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D’où vient la mycose génitale ?
Si la cause directe de la candidose est Candida albicans, sa présence ne doit rien au hasard. Cette levure n’est pas contagieuse et ne passe pas d’un hôte à l’autre comme peuvent le faire les virus. En fait, elle n’a pas besoin de le faire, car vous l’abritez en permanence en faible quantité dans votre microbiote digestif ou intime. Et ce, que vous souffriez de mycose ou non. Mais alors, pourquoi la situation dérape-t-elle parfois, entraînant la multiplication anarchique du champignon ?
Eh bien, tout simplement parce que, pour diverses raisons, les défenses naturelles de l’organisme sont dépassées. Dans le cas du développement d’une mycose vaginale, c’est la population probiotique qui constitue 90 % de la flore intime qui se retrouve fortement affaiblie, laissant alors Candida albicans gagner du terrain sur les muqueuses génitales. Petit à petit, celui-ci prolifère et lorsque sa présence excède les capacités de gestion de notre système immunitaire, divers symptômes apparaissent.
Quels sont les signes de la candidose vaginale ?
C’est bien simple, lorsque vous souffrez d’une candidose intime, cela vous démange en permanence au niveau de la vulve et du vagin et il est bien difficile de vous abstenir de gratter. À force, les démangeaisons s’accompagnent de brûlures qui sont dues, d’une part, aux lésions de grattage, mais aussi à l’inflammation des muqueuses. On parle alors de vulvite ou de vaginite candidosique.
À cause de cette irritation de la peau fragile qui tapisse la vulve et le vagin, il est aussi possible que cela vous brûle lorsque vous faites pipi et que vous ressentiez des douleurs au cours des rapports sexuels, ou parfois même en dehors. En plus de ces symptômes douloureux, vous constaterez également des pertes blanches, épaisses et crémeuses qui sont différentes de vos pertes vaginales habituelles.
En combien de temps guérit-on d’une mycose ?
Le temps de guérison d’une mycose dépend avant tout de ce que vous mettez en place pour la soigner. Cela peut aller très vite, comme traîner en longueur si vous ne faites pas le nécessaire. De plus, il ne suffit pas toujours d’utiliser le traitement antifongique proposé par votre médecin ou votre pharmacien pour éviter une récidive.
Quels traitements pour la candidose vaginale ?
Le traitement courant de la mycose est le célèbre ovule antifongique à insérer dans le vagin. Il contient des principes actifs antimycosiques capables de détruire rapidement Candida albicans. Comme son action ne s’étend pas jusqu’à la vulve, l’utilisation d’une crème contre la mycose vulvaire peut également être recommandée. Ce type de traitement des candidoses est aujourd’hui disponible sans ordonnance, bien que les préparations les plus puissantes soient, elles, délivrées sur prescription médicale.
Pour compléter la prise en charge médicamenteuse de la candidose, il est toujours nécessaire de veiller à votre hygiène intime. Il faut bien sûr laver votre vulve quotidiennement avec un produit spécifiquement développé pour la sphère gynécologique, sans frotter excessivement. En revanche, il n’est pas utile de savonner votre vagin qui, lui, est « autonettoyant ». Chercher à trop assainir cette zone est contre-productif, car cela détruit votre flore intime. Or, c’est elle qui va vous sauver des mycoses à répétition !
Pour préserver le microbiote vaginal, il faut éviter à tout prix de décaper les muqueuses. Parallèlement, lui apporter des probiotiques est primordial pour rétablir son équilibre. Comme ces derniers sont des lactobacilles, et donc des ferments lactiques, consommer des aliments fermentés peut aider. Mais, le plus efficace reste la prise d’un complément alimentaire qui cible précisément les problématiques de la flore intime.
Notre formule Probio+ Intima est spécifiquement dédiée à la santé de votre microbiote génital. Grâce à sa richesse en souches bactériennes de la famille des lactobacilles capables de lutter contre Candida albicans, sa consommation en cure d’attaque ou en programme d’entretien peut vous aider à mettre fin à la candidose vaginale et à ses risques de récidives.
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